Combell/Intelligent nominés pour le Technology Fast 50 de Deloitte

Intelligent, le groupe qui contrôle Combell, a été nominé pour le Technology Fast 50 de Deloitte. Les candidats au Fast 50 sont jugés sur des critères tels que la croissance de leur chiffre d’affaires, l’innovation et la technologie développée. Le classement belge du Fast 50 est pour la première fois organisé en Belgique par Deloitte, en collaboration avec ING, Euronext et Fortino.

« Via diverses marques, dont Combell, Intelligent propose des services d’hébergement allant de simples noms de domaines à des solutions complexes développées sur mesure, en passant par l’hébergement mutualisé. Depuis cette année, avec .GENT, nous exploitons même notre propre extension Internet », dit Jonas Dhaenens, CEO d’Intelligent. « En 1999, nous avons lancé Combell. Au fil des années, de nombreuses autres marques se sont ajoutées à notre gamme. Tous nos services sont fournis via notre plateforme d’hébergement d’Intelligent que nous avons nous-mêmes développée », ajoute Jonas Dhaenens.

Le classement Fast 50 est pour la première fois organisé en Belgique. Une édition pour le Benelux existe en effet depuis maintenant plusieurs années. Au total, 25 pays y participent, de manière à être inclus dans le classement des 500 entreprises technologiques qui ont fait preuve de la croissance la plus importante en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique. Le 22 octobre 2014, la cérémonie de remise des prix de l’édition belge aura lieu à Bruxelles.

En 2013, le groupe Intelligent a réalisé un chiffre d’affaires consolidé de 18 millions d’euros. Le groupe compte une centaine d’employés au niveau national et à l’étranger. Plus de 20 % des sites web belges sont hébergés par une marque d’Intelligent.

« La croissance de notre chiffre d’affaires s’explique par l’extrême attention que nous accordons à l’innovation et à la spécialisation au sein de nos segments d’hébergement. La reconnaissance de ce travail par les experts de Deloitte est un réel honneur pour toute l’équipe d’Intelligent », conclut Jonas Dhaenens.