Online Desktop de Combell rend les logiciels disponibles partout
De nos jours, dans le domaine des TIC, aucun terme n’est plus utilisé que cloud. Les courriels, les photos, les carnets d’adresses, les agendas... tout est peu à peu transféré vers ce nuage Internet magique et disponible partout. Logique : vous voulez pouvoir utiliser vos fichiers où que vous soyez. « Mais les fichiers ne sont pas tout. Pour pouvoir lire et modifier des documents et des présentations, un utilisateur a également besoin des logiciels adaptés. Voilà pourquoi nous les transférons désormais eux aussi vers le cloud », raconte Benjamin Jacobs, CTO chez Combell, le numéro un de l’hébergement en Belgique.
Logiciels dans le cloud
Online Desktop est, comme son nom l’indique, la variante en ligne du bureau de votre ordinateur. Il vous suffit de vous y connecter et, hop, tous vos documents et programmes que vous utilisez à la maison ou au travail sont disponibles. Mais dans une variante Internet.
David Temmerman, Sales & Marketing Director : « Avec Online Desktop, un utilisateur peut travailler sur n’importe quel ordinateur comme s’il s’agissait du sien. Même si cet ordinateur ne dispose pas de la version du logiciel dont l’utilisateur a besoin. Cela est utile pour tous ceux qui sont souvent sur la route et qui ne peuvent pas toujours emporter un ordinateur portable. Car ainsi, la version la plus récente de Microsoft Office tournera même sur l’ordinateur se trouvant dans la chambre d’hôtel ou chez le client. »
De plus en plus de PME et d’entreprises sont convaincues de l’utilité d’Online Desktop. Car outre les avantages en termes de disponibilité, le contrôle et la sécurité supplémentaires jouent également un rôle. Il est p. ex. possible de bloquer l’accès à des fichiers et programmes à un employé qui quitte le service. Et via un astucieux système de surveillance, l’utilisation et la disponibilité peuvent être contrôlées en permanence.
Moins d’investissements en TI
« À long terme, les entreprises qui investissent dans Online Desktop seront toujours gagnantes. Cela est logique : tous les logiciels sont installés sur nos serveurs et utilisent notre puissance de traitement. Une entreprise ne doit donc plus se soucier de cela elle-même. Et les contrats d’entretien onéreux font eux aussi partie du passé. En général, même le directeur des TIC interne profite de cette évolution. Car elle lui permet d’à nouveau se concentrer sur de véritables tâches de TIC », raconte Benjamin Jacobs, CTO chez Combell.
« Les entreprises ne payent pour Desktop Online que si elles utilisent le système. Cela n’est bien sûr pas le cas lorsque l’on achète le matériel – qui doit d’office être entièrement rentabilisé. De plus, les utilisateurs bénéficient de tous les investissements que Combell réalise dans la sécurité, la sauvegarde, les connexions rapides et le nouveau matériel. ».
Collaboration avec des partenaires locaux
Combell se positionne comme spécialiste de l’hébergement et fournit l’infrastructure pour Online Desktop. Mais l’intégration est confiée à des spécialistes en TIC locaux : « Nous trouvons que cette approche est logique. Notre réseau de partenaires locaux est très vaste et il y a donc toujours un spécialiste adéquat près de chez nos clients. Ces entreprises comme Uptime Group et Behind The Buttons sont bien mieux placées pour se charger de l’installation, de la configuration et de l’assistance. La connexion Internet, le réseau local et les applications ont en effet aussi besoin d’être entretenus et ce sont les partenaires locaux qui se chargent de cela. Souvent, cela fait déjà des années qu’ils sont fournisseurs de TIC de ces clients pour d’autres produits. Les pare-feu, smartphones, imprimantes et ordinateurs portables, p. ex., continuent d’exister physiquement et doivent également être entretenus. Nos partenaires en TIC locaux offrent, conformément au modèle Cloud, un service d’assistance tout compris pour un montant mensuel fixe. Cela signifie donc qu’il n’y a plus de mauvaises surprises au niveau des factures pour des services de TIC… Ni pour le matériel, ni pour les logiciels, ni pour l’entretien », explique David Temmerman.